Ecole libre de Courrière

PROJET D’ETABLISSEMENT

PROJET D’ETABLISSEMENT.       Nouvelle version bientôt  .

Dans notre Plan de Pilotage, nous avons choisi de développer 3 grands axes

Le premier axe : Améliorer la maîtrise du savoir lire- savoir écrire

Comment?

En multipliant les activités de graphisme et d’écriture (cycle 1 et 2)

En mettant à la disposition des enfants différents outils d’enrichissement et d’aide (dictionnaire, Eureka, tablette, chuchoteur, casque…)

En multipliant et en variant les différents types de texte proposés aux enfants ( lecture – écriture cycle 1 à 4)

En améliorant la maîtrise du vocabulaire de la maternelle à la 6ème année primaire

Le second axe: Améliorer le bien-être et le vivre ensemble dans la cour de récréation

Comment?

– 2 personnes référentes dans la cour le midi informées de l’actualité de l’école et qui se concertent avec l’équipe enseignante

– En organisant  la cour en différentes zones et en créant des lieux de conciliation

– En développant  les conseils de collaboration à toutes les classes

– En se formant à la communication non – violente et à la PNL

– En donnant à l’enfant des outils pour gérer ses émotions

 

Le troisième axe: Diminuer le nombre de maintiens au sein de notre école

Comment?

– En pratiquant l’intégration

-En améliorant les outils d’évaluation

-En différenciant les apprentissages grâce , aussi, aux outils numériques

-En mettant en place tous les aménagements raisonnables utiles au besoin de l’enfant

-En repensant nos bulletins

– En créant des grilles de suivis des apprentissages

Les projets annuels

(en cours de rédaction)

Les anciens projets d’établissements

…- 2018

S’APPROPRIER DES METHODES DE TRAVAIL :

  • AMELIORER LA MEMOIRE DES ELEVES
  • TENIR COMPTE DES DIFFICULTES D’APPRENTISSAGES

Durant les années scolaires 2006-2011, les priorités du projet d’établissement étaient les suivantes : comprendre la matière (en éveil) et la solidarité responsable dans le respect de chacun.
Tout en poursuivant ces apprentissages, l’équipe éducative a défini de nouvelles priorités pour les trois années scolaires à venir (2011-2016)
Pour concrétiser notre projet éducatif, nous tenterons d’amener les enfants à devenir responsables (I) d’eux-mêmes, des autres et de l’environnement….
Pour concrétiser notre projet pédagogique, nous amènerons chaque enfant à mette en place ses stratégies et ses propres méthodes de travail (II) qui lui permettront d’aborder sereinement ses apprentissages présents et futurs.
Pour gérer l’hétérogénéité des élèves et répondre aux besoins de chacun, nous veillerons à différencier (III) notre démarche d’enseignement.

I : Responsables.

o Par nos classes doubles en primaire (1-2, 3-4 et 5-6), les enfants sont de plus en plus autonomes. Ils veillent à expliquer aux élèves de la classe inférieure ce qu’eux ont bien assimilé. Rien de tel pour apprendre que de pouvoir redire avec ses propres mots ce qu’on a compris.
o Un système de « charges » est mis en place, que ce soit dans la classe, dans le réfectoire ou dans la cour de récréation. Nous essayerons de responsabiliser les enfants afin que notre école reste propre. Un petit panneau tournera dans chaque classe afin de rappeler qu’elle est la classe responsable de la propreté.
o Les enfants de primaires parrainent les petits de maternelles et les aident soit à manger au réfectoire, soit mettre leur manteau ou à s’installer pour la sieste.
o Un système de tri sélectif est mis en place à l’école, appuyé par diverses animations extérieures.
o Nous allons créer un référentiel imagé (photos, dessins,…) pour illustrer les règles importantes de l’école.

II : Stratégies et propres méthodes de travail : la mémoire.
1. Apprendre les techniques de pensée.

D’après de nombreuses études faites, on a conclu qu’une matière enseignée pour « elle-même », comme un ensemble fermé, ne donne lieu qu’à un transfert insignifiant : elle occasionne un entraînement spécifique sur son propre terrain mais ne produit pas d’effet appréciable sur le développement du raisonnement en général. Enseignée au contraire de manière délibérée sous l’angle des techniques de pensée qu’elle implique, celles-ci étant analysées et discutées, elle donne lieu à un transfert considérable. Pour qu’il y ait ce transfert, il est capital que les principes et les méthodes entrant en jeu dans une discipline donnée soient mis en évidence, analysés, qu’ils soient sortis de leur contexte et rendus mobiles et généralisables.
Nous essayerons donc dans notre école de donner du sens à nos différents apprentissages et de créer des liens entre les différentes matières interdisciplinaires.

2. Au niveau de la lecture : des signes aux paysages mentaux.

Une fois les mots décodés, reconnus et identifiés, il reste à comprendre le sens du texte que l’on a sous les yeux. Comprendre un texte suppose d’abord d’accéder au lexique mental relié à chaque mot. Mais ce n’est pas tout. La véritable compréhension d’un texte va au-delà de la simple compréhension des mots qui le composent. Lorsqu’on lit : « Michel traversa la rue et se dirigea vers la librairie des Cinq Parties du monde », je visualise immédiatement une scène. Sans cette compréhension de la scène globale, la phrase qui suit est incompréhensible : « Toutes les productions de l’esprit humain doivent être enfouies là, pensa Michel. » On imagine que les « productions de l’esprit humain » signifie ici les idées, les connaissances et les histoires transcrites dans les livres. Or, à aucun moment dans le texte, le mot « livre » n’apparaît. C’est la représentation mentale du lecteur qui les y a introduits. Pour saisir le sens d’un texte, il ne suffit donc pas de décoder les signes linguistiques et même de comprendre le sens littéral des mots. Il faut accéder à un troisième niveau , le modèle de la situation, ce qu’on appelle dans l’enseignement l’inférence : une représentation schématique de la scène décrite ou de l’idée exprimée dans le texte. Revenons à notre exemple. Le nom « Michel » renvoie à un modèle mental de « homme » : un être humain du genre masculin, peu importent ici la couleur de ses cheveux et la façon dont il est habillé. Le modèle n’est donc ni une représentation totalement désincarnée, ni une image précise, c’est un prototype. Les chercheurs font appel à la notion de « modèle mental », script, schéma pour décrire la façon dont se dessine une scène dans notre esprit. Ces modèles schématiques (inférence) peuvent se rapporter à des personnes, des lieux ou des situations typiques. On les construit à partir de connaissances générales sur le monde teintées de notre propre expérience. Au fil de la lecture d’un récit, on bascule d’une séquence à l’autre. Ces séquences sont structurées autour d’une représentation mentale qui doit posséder une certaine unité et cohérence.
3. Les cinq grands types de mémoire.

 La mémoire perceptive.

La mémoire perceptive est la mémoire du percept avant même qu’il y ait une signification. Par exemple, dans le cadre de la perception visuelle, on perçoit parfois une forme avant de l’identifier. Déjà à ce stade, le cerveau garde une première trace de ce qu’il a perçu : un sujet perçoit une forme et si plus tard, on lui montre un fragment de cette forme, il l’identifie plus rapidement que s’il n’a pas été exposé préalablement à la forme entière. Il s’est produit un effet qualifié d’amorçage perceptif, où la présentation initiale de la forme entière a amorcé la reconnaissance ultérieure d’un fragment de cette forme. En voyant le fragment d’un motif visuel, le cerveau réactive la trace mnésique de la forme entière.

 La mémoire sémantique.

La mémoire sémantique nous est familière : lorsque nous apprenons que Moscou est la capitale de la Russie, nous ne mémorisons pas un percept, mais un sens, une connaissance. Ce type de mémorisation repose sur la mémoire sémantique. Toutes les connaissances générales que nous accumulons, y compris sur nous-mêmes, sont du ressort de ce type de mémoire, qui ne suppose pas de se remémorer un événement précis, ni un percept.

 La mémoire épisodique.

La mémoire épisodique concerne le souvenir d’instants uniques, bien localisés dans le temps et l’espace. Tout souvenir épisodique est associé à un instant et à un lieu, ce qui n’est pas le cas de la mémoire sémantique. Se souvenir du moment où l’on a appris la nouvelle des attentats du 11 septembre, par exemple, fait appel à la mémoire épisodique : on se rappelle un instant, un lieu ou un environnement précis.

Ces trois formes de mémoire sont distinctes, ce que confirment les cas cliniques étudiés : certaines personnes perdent toute capacité de mémoriser des événements (leur mémoire épisodique est touchée) mais gardent la capacité d’apprendre de nouveaux concepts, ce qui fait appel à la mémoire sémantique. Elles peuvent par exemple apprendre ce qu’est le Sida, mais ne pas se souvenir de la personne qui le leur a appris, ni de l’endroit où la conversation a eu lieu.
 La mémoire de travail.

La mémoire de travail se présente comme un système formé de différentes composantes : d’une part un administrateur central, d’autre part des « systèmes satellites » qui maintiennent les informations présentes à la conscience (informations verbales et images mentales). Si quelqu’un vous dit : « Imaginez un crocodile rose à pois verts, avec une serviette autour du cou », vous êtes en mesure de vous représenter ce drôle d’animal, bien qu’il n’existe pas, et la mémoire de travail joue un rôle déterminant dans cette représentation.
L’administrateur central vous enverra l’image d’un crocodile, puis la couleur rose, puis des pois verts. Il crée ensuite l’image complète. La mémoire verbale maintiendra cette image, pendant qu’on nouera la serviette autour du cou du crocodile. L’image mentale permettra de le fixer.

 La mémoire procédurale.

Elle concerne l’apprentissage et le stockage des compétences : apprendre à skier, à faire du vélo, à jouer d’un instrument, à marcher…. Prenons un exemple : lorsque on se sert d’un code chiffré (GSM, carte de banque, alarme), au début, on mémorise mentalement la séquence de chiffres (mémoire épisodique et sémantique), mais à force de pianoter les touches, on adopte une séquence de gestes machinaux. Plus tard, si on vous demande le code, vous vous apercevez que vous avez du mal à vous rappeler le code sous forme de chiffres ; vous risquez de l’avoir oublié mais devant l’appareil, vous savez faire le code avec vos doigts, mais vous avez oublié les chiffres.

4. Les six principes de la mémoire.

1. Bien mémoriser une information, c’est préparer son corps et son esprit à un état de réceptivité maximale (Détente – Relaxation – Sophrologie – Musique ….)
2. Bien mémoriser une information, c’est la « découper » en formes propices à une perception efficace
(Bonnes formes – plan …)
3. Bien mémoriser une information, c’est organiser son processus de rappel
(Associations mentales)
4. Bien mémoriser une information, c’est lui affecter un sens et l’insérer à l’intérieur d’un contexte significatif et hiérarchisé
(Phrases dans l’ordre ou désordre – Relation de cause à effet)
5. Bien mémoriser une information, c’est l’associer à une forme visuelle, à un concept concret et le placer dans un contexte affectif.
(Dramatisation – Visualisation- Moyens mnémotechniques)
6. Bien mémoriser une information, c’est multiplier les associations mentales avec d’autres concepts
(Répétition voulue- association à des sensations multiples)
5. Développer sa mémoire.

1. Les 5 lois de la mémoire :

• La mémoire naît d’une situation de projet.
• En apprenant, s’imaginer en train de réciter.
• Inventer les questions du professeur et y répondre.
• La mémoire enregistre des structures.
• Apprendre d’abord la structure d’ensemble (titres des parties, contours de la carte,…)
• Apprendre ensuite la structure développée (titre des sous-parties, fleuves,….)
• Apprendre enfin le détail.
• La mémoire est multiforme.
• Pour retenir, associer les différentes mémoires pour qu’elles s’entraident (mémoire visuelle, auditive,..)
• La mémoire fonctionne de façon continue.
• Réviser ce qu’on a appris le soir même, puis après un temps de repos d’une journée.
• La mémoire dépend de nos états affectifs.
• Le temps à consacrer à une matière varie en raison inverse de l’intérêt qu’elle inspire. (intérêt élevé = durée brève. Intérêt faible = durée longue)
2. Apprendre attentivement : s’isoler, s’aérer, respirer, se décider !
3. Apprendre en hiérarchisant : dégraisser la leçon, aller du général au particulier.
4. Apprendre en associant.
5. Réviser souvent : prendre de l’avance, se chronométrer, réviser constamment.
Plus on apprend et plus on peut apprendre, moins on apprend et moins on peut apprendre.

D’après toutes ces notes théoriques, voici ce que nous allons essayer de mettre en place dans notre école.

1. LA RELAXATION A L’ECOLE.

 Le pharaon (roi du silence)

– Tels les pharaons sur le trône, s’installer le dos droit, mains ouvertes sur les genoux, paumes vers le ciel, bras légèrement pliés.
– Placer la tête dans le prolongement de la colonne vertébrale et pousser légèrement le sommet du crâne vers le haut.
– Les yeux fermés, le visage détendu, respirer calmement.
 Montée contrôlée des épaules

– Debout, les pieds légèrement écartés, les yeux fermés, ne plus bouger.
– Porter son attention sur les épaules, puis les monter lentement avec un minimum d’efforts.
– Relâcher les mains et les bras.

 Le jeu de la paume

– Placer la paume devant la bouche.
– La bouche en « O » légèrement entrouverte, souffler lentement dans la paume.
– Placer la paume de plus en plus loin jusqu’à ce que le contact de l’air ne soit plus senti.
– Rapprocher doucement la paume pendant l’inspiration.
– Faire prendre conscience de la nécessité de bien inspirer pour pouvoir expirer longuement.

 D’autres idées

A rappeler aux enfants :

– Chaque fois que c’est possible, ne faire qu’une seule chose à la fois.
– Être pleinement attentif à ce que l’on fait.
– Quand l’esprit se détourne de l’activité, l’y ramener.
2. LA MEMOIRE DES NOMBRES.

 Pour apprendre à dénommer, c’est-à-dire à associer les différentes expressions écrites (chiffre, mots, points) et orales tout en construisant leur structure d’organisation.
o Classer lettres et chiffres
o Reconnaître les chiffres dans des écrits (publicités)
o Lire les nombres écrits en chiffres
o Compléter la bande numérique individuelle
o Mettre le chiffre sur le chiffre et le lire
o Mettre la quantité sur la quantité et la dire
o Mettre la quantité sous le nombre
o Continuer des suites de nombres
o Construire des bandes nombres à partir de morceaux
o Relier des suites pour construire des dessins
o Classer les nombres en fonction d’un chiffre
o Construire le tableau des 100 premiers nombres avec ou sans modèle
o Compléter un tableau où il manque quelques nombres.
o Inscrire quelques nombres à partir d’un tableau vide.
o Construire le puzzle du tableau des 100 premiers nombres.
o Analyser un tableau des 100 premiers nombres pour y découvrir toutes les régularités d’organisation.
o Lotto des 100 premiers nombres.
o Historique de la numération chez les 5èmes et 6èmes primaires.

 Pour apprendre le dénombrement : le nombre comme mémoire de la quantité.

o Comparer deux collections d’objets différents sans compter : correspondance terme à terme.
o Compter en manipulant les objets (litanie des nombres).
o Se déplacer dans un quadrillage de points en fonction d’une quantité donnée ou d’une orientation.
o Mémoriser une quantité pour compléter un quadrillage.
o Jeu de l’oie.

 Pour apprendre à reconnaître et utiliser les quantités.

o Manipuler pour classer des étiquettes des 6 ou 7 premiers nombres.
o Construire dans sa tête des référents précis des premiers nombres.
o Montrer une quantité demandée par l’enseignant.
o Montrer la plus grande quantité dans 2 cartes prises au hasard sans compter.
o Rechercher dans une grande quantité de cartes celles correspondant à un nombre imposé.
o Construire des suites de 4 ou 5 quantités avec ses cartes : images identiques ou différentes, en regardant ou de mémoire.
o Construire des pages structurées avec plus ou moins 20 schémas des premiers nombres
o Apprendre à découper les quantités en plus petites quantités.
o Construire différents schémas des premiers nombres avec des chevilles dans une planche à trous et reporter sur une feuille.
o Dessiner de manière organisée des quantités imposées après les avoir regardées simplement.
o Organiser des quantités d’objets pour pouvoir les dénombrer rapidement.
o Classer des représentations différentes de mêmes nombres.
o Manipuler des schèmes.
o Jeux comme les dominos, …

 Pour apprendre le système numérique de position.
o Pratiquer les activités d’échanges constants.
o Compter les fruits, les animaux de la ferme en n’utilisant que le 1,2 et 3
o Apprendre à exprimer un nombre de différentes manières.
o Classer les différentes expressions d’un nombre.
o Dire et lire de grands nombres.

 Des activités synthèses.
o Construire ou remplir des arbres logiques de décomposition de nombres
o Nombres croisés
o Nombres décimaux
o Sudoku….
3. QUELQUES PISTES POUR AMELIORER LA MEMOIRE.

– Pratiquer les autodictées qui obligent l’enfant à mémoriser un texte à reproduire par écrit.
– Mémoriser l’orthographe d’une série de mots (de 5 à 30 selon l’âge) et essayer de retrouver de mémoire le plus de mots possible.
– Jeu de Kim : mémoriser en 2 minutes une série de 20 objets et les réécrire sans les voir. Augmenter le nombre d’objets et diminuer progressivement le temps.
– Mémoriser une poésie par effacement.
– ……….

III : Différencier.

o Il est nécessaire d’observer beaucoup les enfants et leur travail afin de mieux les orienter, mieux cerner les difficultés propres à chacun.
o Nous essayons également de repérer les enfants qui éprouvent des difficultés d’apprentissages ( TDA H, dyscalculie, dyslexie, dyspraxie,…) en aiguillant les parents vers des personnes ressources compétentes.
o Grâce à nos ordinateurs portables, les enfants qui éprouvent des facilités peuvent, outre expliquer aux autres, avancer à leur rythme sur un programme personnel adapté à leur année.
o Les élèves qui éprouvent quelques difficultés sont aidés par une logopède et reçoivent une part de travail moindre qui leur permet de ne pas se décourager et de rester motivés.

CE QUE NOUS AVONS REALISE L’ANNEE DERNIERE.

En primaire
o Animations scientifiques au Printemps des Sciences à Namur.
o Animation sur les sources d’énergie par un spécialiste.
o Animation sur la gestion des déchets et le rangement d’aliments dans un frigo.
o Animations scientifiques dans le « Scientifiquebus».
o Animation sur l’eau avec initiation au microscope par un spécialiste.
o Visite du centre de la sclérose en plaque à Naninne + matinée gagnée : démonstration de cyclo-danse et promenade en Joëlette.
o Visite et animation (récolte et observation d’insectes) en forêt à Mozet.
o Visite de l’exposition « photo nature » à Mozet.
o Visite à la poste au centre tri de Belgrade.
o Initiation à la sécurité routière par l’APPER.
o Cours pratiques de sécurité routière en collaboration avec la gendarmerie à Ohey.
o Participation aux activités inter-écoles de l’entité +Cross orientation.
o Préparation par les examens antérieurs de CEB.
o Visite et animation au salon des métiers à Namur
o Spectacles de théâtre pour chaque classe.
o Sélection pour le festival du film nature à Jambes.
o Rallye lecture.
o Excursion à Walibi pour les 5ème et 6ème.
o Excursion au Mont Mosan à Huy.
o Travaux en ateliers le mardi-après midi en expressions artistiques, musicales et initiation à l’informatique (Word et Excel) pour tous.
o Spectacle de fin d’année.

En maternelle
o Journées ADEPS.
o Découverte des notions du temps.
o Petits déjeuners malins tous les mercredis.
o Ateliers de psychomotricité relationnelle.
o Piscine pour les troisièmes maternelles.
o Travail en ateliers.
o Spectacle par « Planète Mômes ».
o Spectacles de théâtre.
o Projet sur le corps humain avec exposition didactique.
o Spectacle basé sur le corps humain.
o Projet sur les indiens.
o Excursion à la Cabriole à Forville ( Animation sur les Indiens et les cowboys.
o Mini projet sur Halloween.
o Animation sur la relation entre l’homme et la nature par des spécialistes.
Nous proposons :

o Une ambiance familiale.
o Un environnement accueillant.
o Un accueil de 7h00 à 18h15.
o Des instituteurs à votre écoute.
o Un enseignement de qualité.
o Un travail individualisé.
o Un cours de catéchèse donné par le titulaire.
o Des liens pour favoriser le passage au secondaire.
o Une évaluation continue de la progression de chaque enfant.
o Des surveillances pendant les repas et les récréations par les enseignants.
o Un local d’informatique protégé par une alarme et un centre de documentation relié à internet.
o Des petits déjeuners malins en maternelle.
o Classes de neige en 5 et 6ème année.
o Classes de mer au cycle 8-10.
o Classes de découvertes au cycle 5-8.
o Un bulletin mensuel d’informations.
o Une initiation à la deuxième langue a lieu à raison d’une heure par semaine dès la 1ère primaire.

Notre pédagogie.

o Nous donnons du sens au travail scolaire.
o Nous pratiquons la différenciation. Nous sommes attentifs à assurer la continuité des apprentissages.
o Nous aidons l’enfant à construire des savoirs : savoir-faire, savoir-devenir, savoir-être.

Nos valeurs .

o L’autonomie : grâce à nos classes en cycle, les enfants deviennent rapidement autonomes et s’habituent pour le secondaire.
La solidarité dans le respect.